Ces réflexions me sont venues à la lecture d’un dernier événement contre des boucheries, survenu à Carouge la nuit dernière. Il vient densifier le message déjà lancé à Genève en début du mois. On étiquette vite les auteurs d’antispécistes, ce qui donne une explication et la délimite, mais non un sens au geste lui-même qui touche une dimension bien plus vaste du problème de la relation actuelle entre hommes et animaux.